Bonjour,
un sujet tendance au vu du regain d'intérêt pour le disque vinyle. L'écoute musicale est-elle encore possible sans faire appel aux techniques digitales ?
Force est de constater que la production de tables de lectures analogiques est à nouveau une préoccupation des marques. Le marché propose des platines pour presque tous les budgets. Et c'est sans doute très bien au vu des qualités musicales qu'offre ce support. Il semble aussi évident que ce marché n'est plus exclusivement destiné aux passionnées qui courent les "brocantes", les foires et les quelques revendeurs spécialisés en quête de disques en plus ou moins bon état. Aujourd'hui, tous les artistes (ou presque) justifiants un tirage suffisant sont édités en CD, fichiers et vinyles. Aussi pas mal de ré-éditions disponibles dans certaines "grandes surfaces" telles la Fnac ou Médiamarkt par exemple. Le marché des disques noirs n'est donc plus la chasse gardée des revendeurs spécialisés. Je me souviens que certains pays, dont nos voisins anglo-saxons, ont mit énormément de temps pour passer au CD. Lorsque nos pays étaient presque "full CD", eux arrivaient à peine à un rapport de 50% d'auditeurs passés au CD. La tendance s'inverse t-elle dans le milieu audiophile.
D'où ma question, selon-vous, est-il pensable de prévoir, à nouveau, l'élaboration d'une discothèque satisfaisante basée uniquement sur l'analogique et se passer des supports digitaux.
A vos avis.
Belle journée à vous