Robert Moog a 78 ans.

[VEYS]

Le problème est que ce composant n'était pas stable du tout.

Ca me rappelle le "human factor" introduit dans les boites à rhytmes

...un ampli en 110 V accepterait d'être branché en 220 V comme le faisait Eddy Van Halen.....

Donc une manière moins élégante pour "Bridger" son ampli pour qu'il donne le double de puissance

[Naturel]

Je pense aussi que le matériel de l'époque était moins fragile en terme de construction, je suis pas certain qu'un ampli en 110 V accepterait d'être branché en 220 V comme le faisait Eddy Van Halen.....

Ou à la manière de Keith Richards qui retirait une lampe de puissance sur deux pour pousser la lampe restante et saturer le son.

Ce que l'histoire ne dit pas, c'est la durée de vie de la machine utilisée de la sorte.

[Le Pivert]

Je pense aussi que le matériel de l'époque était moins fragile en terme de construction, je suis pas certain qu'un ampli en 110 V accepterait d'être branché en 220 V comme le faisait Eddy Van Halen.....

Ou à la manière de Keith Richards qui retirait une lampe de puissance sur deux pour pousser la lampe restante et saturer le son.

Ce que l'histoire ne dit pas, c'est la durée de vie de la machine utilisée de la sorte.

Et la méthode Jimi Hendrix? Tous les potards à fond ????

[Naturel]

En fait, c'est pis-aller datent d'une époque ou il n'y avait pas deux volumes sur les amplis de guitares. Maintenant, la plupart du temps, il y a un "gain" qui permet de saturer l'entrée et un "master volume" qui règle le niveau de l'ampli. Parfois même un volume d'entrée, un volume de pré-ampli et un volume de niveau de l'ampli.

Hendrix raccordait parfois aussi plusieurs têtes d'amplis les unes aux autres pour saturer plus le signal. Avec ce procédé en cascade, je vous laisse imaginer le bruit de fond en bout de course...